Je trouve que ton réseau conceptuel de la culture est très clair. On peut facilement comprendre que pour toi, la culture est, prime abord, une question d’apprentissage. Bien que tu mises avant tout sur les savoirs à l’école secondaire, on peut tout de même envisager que l’enrichissement culturel se fait aussi à l’extérieur. De plus, tu englobes de façon générale ce qui est dans le Programme de formation de l’école québécoise (domaines généraux de formations, compétences transversales et compétences multidisciplinaires) en donnant quelques exemples de comment les intégrer à notre enseignement. Toutefois, j’aurais aimé avoir une idée de ce que représente pour toi la culture outre l’association à l’enseignant, ou bien, quels pourrait être les autres moyens de nourrir cette culture.
Ta façon d'illustrer la culture pour toi est très intéressante. Partir de la définition du verbe « cultiver », situer l’élève au cœur de la culture et tenir compte du Programme de formation des écoles québécoise (par exemple : compétences transversales et disciplinaires, domaines généraux de formation) est bien pensé. On peut vraiment sentir que tu as, si l’on reprend les termes du MELS, une «approche culturelle de l’enseignement» notamment par le fait que l’enseignant est impliqué dans le développement de la culture comme rapport à soi et au monde de l’élève (Martinet et coll., 2001).
Si je devais formuler un commentaire constructif, ce serait peut-être concernant le lien que tu établis entre les formes d'activités d'apprentissage et les enseignants. Souhaitais-tu mentionner que les enseignants présentent les activités d'apprentissage non seulement sous forme d'exposés, mais aussi sous forme de travaux, projets ou autres? Ou envisageais-tu davantage que les activités d'apprentissage peuvent être des travaux, projets, etc.? Toutefois, plus j'y réfléchis, plus je suis d'avis que les deux apportent une perspective semblable au final.
Je conclurais en mentionnant mon coup de cœur dans ta représentation de la culture. Il s’agit de la belle portée que tu apportes au développement de la culture chez nos élèves (ce qui est d’ailleurs en lien avec la culture comme rapport). En effet, en tant qu’enseignants, nous ne donnons pas uniquement des connaissances théoriques à nos élèves, mais nous amenons à la réflexion et au développement de leur identité à partir de ces découvertes qui motiveront leurs choix présents et futurs.
Jessica F.
Référence : Martinet, M.A., Raymond, D., Gauthier, C. (2001). La formation à l’enseignement, les orientations, les compétences professionnelles. Québec : Ministère de l’éducation.
Je trouve que ton réseau conceptuel de la culture est très clair. On peut facilement comprendre que pour toi, la culture est, prime abord, une question d’apprentissage. Bien que tu mises avant tout sur les savoirs à l’école secondaire, on peut tout de même envisager que l’enrichissement culturel se fait aussi à l’extérieur. De plus, tu englobes de façon générale ce qui est dans le Programme de formation de l’école québécoise (domaines généraux de formations, compétences transversales et compétences multidisciplinaires) en donnant quelques exemples de comment les intégrer à notre enseignement. Toutefois, j’aurais aimé avoir une idée de ce que représente pour toi la culture outre l’association à l’enseignant, ou bien, quels pourrait être les autres moyens de nourrir cette culture.
RépondreSupprimerTa façon d'illustrer la culture pour toi est très intéressante. Partir de la définition du verbe « cultiver », situer l’élève au cœur de la culture et tenir compte du Programme de formation des écoles québécoise (par exemple : compétences transversales et disciplinaires, domaines généraux de formation) est bien pensé. On peut vraiment sentir que tu as, si l’on reprend les termes du MELS, une «approche culturelle de l’enseignement» notamment par le fait que l’enseignant est impliqué dans le développement de la culture comme rapport à soi et au monde de l’élève (Martinet et coll., 2001).
RépondreSupprimerSi je devais formuler un commentaire constructif, ce serait peut-être concernant le lien que tu établis entre les formes d'activités d'apprentissage et les enseignants. Souhaitais-tu mentionner que les enseignants présentent les activités d'apprentissage non seulement sous forme d'exposés, mais aussi sous forme de travaux, projets ou autres? Ou envisageais-tu davantage que les activités d'apprentissage peuvent être des travaux, projets, etc.? Toutefois, plus j'y réfléchis, plus je suis d'avis que les deux apportent une perspective semblable au final.
Je conclurais en mentionnant mon coup de cœur dans ta représentation de la culture. Il s’agit de la belle portée que tu apportes au développement de la culture chez nos élèves (ce qui est d’ailleurs en lien avec la culture comme rapport). En effet, en tant qu’enseignants, nous ne donnons pas uniquement des connaissances théoriques à nos élèves, mais nous amenons à la réflexion et au développement de leur identité à partir de ces découvertes qui motiveront leurs choix présents et futurs.
Jessica F.
Référence : Martinet, M.A., Raymond, D., Gauthier, C. (2001). La formation à l’enseignement, les orientations, les compétences professionnelles. Québec : Ministère de l’éducation.